Des idées recueillies sur Facebook

Après mon premier article, plusieurs personnes ont réagi sur Facebook.
Pour éviter que leurs propos parfois édifiants se perdent, je les recueille ici.

Jacqueline Cornut
On devrait proposer la même chose à Pierre-de-Bresse !

Denis Lamard
C’est évident !

Jacqueline Cornut
mais on pourrait le tourner artistiquement, une vitrine = un artiste

Jacqueline Cornut
ou intégrer les artistes à la liste : • identification de locaux à remplir
• recherche d’entreprises et commerçants qui veulent s’installer
• proposer des services de support aux nouveaux-venus
• donner des coups de main pratiques
• demander des subventions de stimulation
• stimuler les artisans locaux de faire des prix intéressants pour travaux

Gregor Hakkenberg van Gaasbeek
Il existe déjà une initiative comme ça à Tournus, organisé par Anja Martens de la galerie Entree Libre. Elle avait de bons contactes avec plusieurs propriétaires de magasins vides. Malheureusement ç≈a n’a pas marché parce que la municipalité l’a croisé en proposant aux proprios des grands autocollants pour cacher les vitrines vides. Cacher étant plus facile qu’utiliser, plusieurs l’ont fait et l’initiative d’Anja est morte.

Gregor Hakkenberg van Gaasbeek
Par contre, ça ne nous empêche pas de regarder ensemble ce qu’on peut faire avec les locaux qui restent. Ensemble avec la communauté de communes La Pépit, qui il semble est en train de faire un listing des locaux.

Franck Boulay
Intéressant, belle initiative. A Louhans ça marche très bien, beaucoup de nouveaux commerces se sont installés et s’installeront dans les tous prochains mois. Il n’y a pour ainsi dire plus de local commercial disponible. La politique municipale y est pour beaucoup, avec le refus d’extension à tout va en périphérie (nouveaux bâtiments) et proposer plutôt déjà les bâtiments disponibles. Du coup, les gens qui ont des projets, aidés, deviennent inventifs. 25 ans qu’il n’y avait plus de poissonnerie, ça revient, MDA arrive, une nouvelle parfurmerie s’installe, un magasin de détail bio… Comme les porteurs de projets savent qu’ils ne risquent pas de se faire croquer par un « super centre commercial encore plus grand », ils ont confiance et investissent les rues. C’est plein ! 

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